Link: http://www.huffingtonpost.com/mary-beth-pfeiffer/quiet-plague-called-lyme-_b_9578544.html

Marla Maples, une actrice et ancienne Mme Donald Trump, a récemment rejoint une liste croissante de la célèbre - et malheureux - qui ont reconnu avoir des épisodes graves de la maladie de Lyme.
L’infection bactérienne qui touche quelque 300.000 Américains chaque année, est transmis par la piqûre d’une petite tique dont la menace est croissante dans le monde entier. Tiques à pattes noires se trouvent maintenant dans la moitié des comtés 3110 dans la zone continentale des États-Unis - le double du nombre de 20 années - et dans de nombreux pays de la Suède à la Chine . Canada, pour sa part, connaît un bilan de la maladie de plus en plus rapidement que les tiques se déplacent vers le Nord des climats auparavant impropres à la survie.
Et comme les tiques propagation, la maladie de Lyme réclame de nouvelles victimes de premier plan comme la chanteuse Avril Lavigne, auteur Amy Tan, personnalité de la télévision Yolanda Foster et le rocker Daryl Hall, entre autres . Leurs expériences apportent nécessaires l’attention sur un fléau silencieux qui a longtemps été sous-estimé et mal compris, de la même façon que le sida était il y a quelques décennies. SIDA a été redéfinie en 1985 , lorsque Rock Hudson est devenue la première star de cinéma majeur à annoncer son diagnostic.
Alors Lyme n’a pas les mêmes stigmates que le SIDA, les problèmes de célébrités ont rencontré avec le diagnostic, le traitement et les symptômes persistants de la maladie de Lyme sont souvent leur étincelle pour parler. En effet, un médecin, j’ai interviewé dans ma déclaration de la maladie de Lyme a dit qu’il a décidé d’ouvrir sa pratique à traiter, tellement frustré qu’il était par l’incapacité à obtenir des soins pour un membre de la famille malade; a ainsi fait un autre médecin qui souffrait de la maladie de Lyme, mais avait été mal diagnostiqué avec la sclérose en plaques. Si les gens de moyens et les connexions ont de tels problèmes, envisager d’ autres profondément touchés puisque la maladie est apparue dans les années 1970 .
Le Georgia-né Maples, qui se dit «guerrier tranquille» pour les personnes souffrant de Lyme, a été diagnostiqué à 22 ans «Je l’ avais douleurs articulaires et musculaires, ne pouvait pas penser clairement et les médecins pensaient que je pourrais avoir Epstein-Barr,” dit - elle dans un communiqué de presse publié par le but non lucratif mondiale Lyme Alliance, qui rendra hommage à Maples lors d’un gala Connecticut samedi, Avril 2. «J’était endolori et mal et avait une très faible consommation d’énergie.”
Dans le communiqué, Maples a utilisé un terme qui est au cœur de l’un des plus vigoureux, attaquée et débats vicieux dans la médecine d’aujourd’hui. «J’ai beaucoup d’amis,” dit-elle, “avec Lyme chronique, et il est une maladie tragique.”
Les Centers for Disease Control and Prevention ne conteste pas que Lyme peut être grave - certains de 10 à 20 pour cent de Lyme douleur expérience patients atteints de maladies, la fatigue, les troubles cognitifs et d’ autres symptômes mois ou des années après le diagnostic. Mais l’agence, alliée avec plusieurs sociétés médicales, rejette l’étiquette «chronique». Au lieu de cela, il attribue les problèmes persistants de la maladie transmise par les tiques à une condition connue sous le nom de «syndrome de la maladie de Lyme post-traitement» , qui découle probablement, il maintient, des dommages aux tissus et le système immunitaire de l’infection initiale.
Pour Maples, 52 et une danseuse dans la saison actuelle de Dancing ABC With the Stars, le traitement comportait six à huit mois d’antibiotiques . Directives médicales approuvées par le CDC (qui sont actuellement en cours de réécriture) soutiennent que le bogue de Lyme est généralement éradiquée par seulement 10 à 28 jours d’antibiotiques. Mais l’étude clé sur laquelle ces lignes directrices sont fondées est âgé de plus de 15 ans . Cette étude et d’ autres ont échoué à considérer que de nombreux patients de Lyme peuvent être infectés par d’ autres agents pathogènes transmis par les tiques qui compliquent la maladie. Et les lignes directrices ne tiennent pas compte de nouvelles recherches qui suggère que la bactérie de Lyme a défenses qui peuvent échapper à l’assaut des antibiotiques. De manière significative, ces directives de traitement ont été utilisées pour discipliner les médecins qui traitent la maladie de Lyme de façon agressive et, de nombreux patients en quête de soins ont m’a dit, ont dirigé d’ autres loin de traiter la maladie de Lyme à tous.
Au - delà, le test standard pour la maladie de Lyme est une mesure d’anticorps - pas de test est bon de trouver l’agent pathogène de Lyme lui - même - et en tant que telle est . Très imparfait Par conséquent, si le test manque peut - être la moitié des cas à un stade précoce et un sixième plus tard, il a été utilisé pour rejeter les plaintes de personnes potentiellement infectées.
Comme beaucoup de personnes souffrant de la maladie de Lyme, le diagnostic de l’écrivain Amy Tan est venu tard, après une morsure de tique manquée et quatre ans de symptômes douloureux. «Je ne pouvais pas lire un paragraphe et de rappeler ce qu’il a dit,” écrit - elle dans un New York Times colonne en 2013. «Les médecins je vis - excellents - jamais envisagé me tester pour la maladie de Lyme, même si je l’ ai suggéré une fois ». Si elle part des antibiotiques, Tan a écrit, “les symptômes marchent en arrière.”
L’histoire de Tan est une anecdote. Comme est Marla Maples », dont le cas peut avoir été compliquée par un parasite contracté au Guatemala. Pour être sûr, de nombreux patients sont guéris de la maladie de Lyme par un rapide tour d’antibiotiques, en particulier lorsque l’infection est détectée rapidement. Et d’autres personnes avec les cas avancés ne peuvent pas être aidés avec des traitements médicamenteux prolongés, et potentiellement risqués.
Mais une chose est claire que la liste des personnes infectées Lyme, célèbre et non, se développe: la médecine n’a pas les réponses au problème de la maladie de Lyme. Il ne devrait pas prétendre qu’il fait

Source : http://www.huffingtonpost.com/mary-beth-pfeiffer/quiet-plague-called-lyme-_b_9578544.html